Polémique
sur la gestion du chef de l’Etat par une certaine classe d’opposants
Alladatin parle
des priorités de Talon
Le député de la seizième
circonscription électorale, suppléant du ministre Joseph Djogbénou a clarifié certains
sujets à polémique depuis l’avènement du président Talon. Dans une émission ce
dimanche sur la radio nationale, il a fait d’une pierre deux coups.
Orden
Alladatin n’est pas allé par le dos de la cuillère avant de cracher sur les
pseudos opposants au régime Talon. Dans une intervention claire et limpide, le
suppléant de Djogbénou a rappelé les exigences du gouvernement de la rupture.
Il n’est plus question de vexer dans des commentaires allant dans le sens de
critique et de dénonciation. Mais pour lui, le gouvernement a à cœur les
préoccupations du peuple béninois. Ces préoccupations d’ordre social ne manqueront
pas de solutions, semble-t-il affirmer dans un entretien avec deux journalistes
de la radio nationale. « Nous avons le Programme d’action du gouvernement qui
est précis, ce qui m’importe, c’est la réalisation de ce Pag », confie l’honorable
Orden Alladatin. Il indique d’ailleurs que l’essentiel c’est comment faire pour
que ce qu’il y a dans le Pag soit réalisé. Il est clair que le chef de l’Etat
et son gouvernement s’attèlent à cet idéal pour qu’au soir de son mandat, le
peuple béninois porte véritablement en triomphe le président Talon déterminé à
entrer dans la gloire. Autrement, il n’y aura plus de place aux commentaires et
polémiques tendant à distraire le pouvoir dont l’ambition selon le député, est
de construire le Bénin. « Il faut construire le Bénin. Mais d’abord, il
faut travailler à réaliser la fondation. Le travail de la fondation est presqu’achevé,
et très très bientôt, les béninois verront ce qui se fait pour leur bonheur »,
a rassuré le député.
L’honorable
n’a pas manqué d’expliquer les mobiles du vote de loi sur l’embauche au Bénin. Les
investisseurs qui viennent au Bénin se décourageraient selon le soutien de
Patrice Talon dans un langage franc. Et donc il soutient qu’il faille créer la politique
incitative en direction de ceux qui veulent recruter. Il faut permettre aux
investisseurs de recruter, indique le premier rapporteur de la commission des
lois l’Assemblée nationale. Les travailleurs,
une fois le contrat à durée indéterminé signé, ne chercheraient plus la
performance de leur structure de travail. Ce serait donc pour corriger ce tir
et remettre les béninois au travail que cette loi aurait été votée. « Même
si il n’y aura pas de Contrat à durée indéterminée (CDI), que les CDD se
multiplient », a-t-il soutenu.
Alexis METON
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire